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Le Bienheureux Jean-Martin MOYË                         ( 1730-1793 )         

Fé prêtre le 9 mars 1754. Commeicaire dans pluurs paro

                                                        A. FOUCAULTLe bienheureux J.-M. Moyë                                      G. GOYAU,    Jean-Martin Moyë, missionnaire en Chine                                  J.GUENNOULe bienheureux J.-M. Moyë, une spiritualité missionnaire                                                             BANDES DESSINÉES -  A. RICHOMMEUn entraîneur J.-M. Moyë                                                                     - Jean-Martin Moyë, Journal du risque et de la confiance                               FRATERNITÉ PROVIDENCE, Une vie de Providence                                           J. ORGEBINVivre la prière apostolique à la manière de J.-M. Moyë                             G. TAVARDLorsque Dieu fait tout                                             SŒURS PROVIDENCE CHAMPION Prier 15 jours avec Jean-Martin MOYË                                                                        SON ŒUVRE INTÉGRALE est accessible sur http://moye.chez-alice.fr                                     Bibliographie complète : en fin du livre Prier 15 jours avec J.-M. Moyë
Une femme douce et forte, toute donnée à Dieu et aux autres                                                                   Anne-Appoline Voirin (1809-1853)  est l’aînée d’une famille                                                    chrétienne de Mennouveaux, en France. Elle devient soeur de                                                    la Providence de Portieux à l’âge de 20 ans.                                                      1832 : elle est envoyée à Flémalle (Liège, en Belgique).                                                        Ensuite à Jodoigne, où s’ouvre le premier noviciat belge.                                                      1836 : M. l’abbé Kinet achète le château de Champion,                                                                   inoccupé depuis trois ans et très délabré.                                                                                                                                                                                            Sœur Xavier y forme les novices. Elle répète sans cesse                                                        aux jeunes sœurs qui se préparent à enseigner :                                                   Croire à l’amour de Dieu, faire de Lui le centre de votre vie,                                                   pour pouvoir dire aux enfants qui vous sont confiées et à tous                                                   ceux qui ne le savent pas : Dieu est Père, Dieu vous aime.                                                   Lorsque les évêques de Belgique décident l’autonomie du jeune     Première Supérieure Générale     groupe de sœurs belges, en 1837, Sœur Xavier choisit de       rester en Belgique, prononce des vœux en 1838 et demande d’ajouter Marie à son prénom.       Dès que Sœur Marie-Xavier est élue Supérieure générale, elle veille à la formation des sœurs,        aux sœurs envoyées dans les prisons,  spécialement  aux intérêts des élèves : santé, progrès       scolaires et humains…           Ce qui la caractérise :  bonté, exigence, confiance inébranlable en l’amour de Dieu Père,                                             sollicitude sans bornes pour voler à l’aide en toute occasion.      Dans la maladie, elle reste pleine de foi et d’amour pour Dieu et pour son entourage. Elle meurt très paisiblement le 21 mai 1853, comme l’enfant qui s’endort dans les bras de sa mère.
                      En savoir plus sur Jean-Martin MOYË
Quelques ouvrages en français sur lui                      
Sa mentalité : l’Évangile                                                                * Que les Soeurs prennent l’Évangile pour règle de vie.                    * Par leur vie d’abord, par leurs paroles ensuite, les Soeurs diront l’amour du Père.                    * Le but de la Congrégation : l’éducation des enfants pauvres et de toute personne                              qui en aurait besoin.                    * On nous appellera “Soeurs de la Providence”, car la Providence de Dieu s’est                                                                    manifestée d’une manière spéciale dès nos débuts.                     * Nous porterons la petite croix de bois nue, signe de pauvreté et de ressemblance                                          avec la croix de Jésus Christ.                                        * Les Soeurs iront partout où on les demandera.                      *  Ni la distance, ni les différences de nations ou de caractère ne pourront empêcher                             de proclamer partout que Dieu est Amour et qu’il aime tous les hommes.                                    * Prenez tout de bon gré, et pesonne ne pourra vous ravir votre joie.                                 * Laissez-vous conduire par la divine Sagesse. Ne refusez rien à Dieu.                             * Quitter une mission aussi facilement qu’on enlève la pelure à une orange.                                                                * Vous êtes destinées à être des lampes sur un chandelier,                                                                  dans tout un royaume, et même dans toute l’Église où le                                                                   Seigneur vous envoie.
Mère Marie-Xavier VOIRIN  
Jean-Martin nous a légué un trésor : à nous de le valoriser : quatre piliers pour soutenir la maison Providence.
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Sa fête au calendrier de l’Église est fixée au             4 mai                   jour anniversaire de sa naissance au ciel.